Lorsque nous choisissons d'entreprendre des travaux d'élagage dans nos arbres, le premier souci est toujours celui de la santé de l'arbre. L'important semble demeurer le respect des règles de l'art, si elles sont mises en pratique, on peut élaguer les arbres en toutes saisons.
La taille des arbres fruitiers est bien différente de la taille des arbres ornementaux, comme l'érable par exemple. Nous voulons ici expliquer les bases de la taille fruitière pour ceux qui souhaitent une meilleure récolte pour leurs pommiers, poiriers ou pruniers.
Quand l'homme aura coupé le dernier arbre, pollué la dernière goutte d'eau, tué le dernier animal, et pêché le dernier poisson, alors il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible. Un tel proverbe est une véritable douche froide pour la conscience moderne.
Quand vient le temps d'inspecter un arbre sur sa propriété, il est important d'avoir un minimum de connaissance pour savoir quoi vérifier. Il n'est pas compliqué de détecter les problèmes les plus courants. Un simple coup d'oeil, au même moment que l'on contemple la beauté de nos arbres, est suffisant pour déceler des symptômes qui vous donneront une bonne raison d'appeler un arboriculteur pour une consultation gratuite.
La brûlure bactérienne (ou feu bactérien) est une maladie végétale qui touche principalement les pommiers, les pommetiers décoratifs, les poiriers et les sorbiers. La bactérie qui est à l’origine de cette maladie est un organisme nuisible réglementé. Elle peut causer la mort d’un arbre en une seule saison.
Le micocoulier est prometteur à bien des égards pour une flore urbaine résistante à ses conditions typiques. L'idéal sera de joindre cet arbre à une culture polyvalente et diversifiée pour éviter la propagation de maladies dans le futur. En l'observant, le micocoulier occidental revoit des traits qui ne peuvent être décrits par le concept de rudesse. Son écorce est tout entière recouverte d'excroissances et de crevasses à la texture du liège.
Dans le dernier article concernant l’approche écosystémique en développement durable, nous avons démontré comment la compréhension des structures trophiques (c’est-à-dire les rapports de nutrition entre les différentes espèces) peut aider à gérer la faune urbaine de façon optimale. En effet, la végétation, les insectes et les animaux ne cessent pas d’agir en interaction étroite avec l’environnement lorsque nous nous trouvons en ville. Les changements et...
Lire l'article
Bien qu'il ne soit pas, à proprement parler, un arbre indigène du Québec, le févier d'Amérique est si répandu et si adapté pour nos milieux urbains, qu'il serait regrettable de ne pas en parler. D'ailleurs, son aire de répartition naturelle est le centre des États-Unis, ce qui en fait difficilement un arbre exotique.
Parmi les érables indigènes et non modifiés par l’horticulture, plusieurs autres choix que l’érable argenté se présentent, mais il y a toujours la question de l’adaptabilité en milieu urbain, c’est-à-dire la capacité de l’arbre à résister à la pollution, au compactage du sol et au sel de déglaçage. Bien souvent, nous utilisons des arbres-cultivars, c’est-à-dire des variétés cultivées en horticulture pour leurs propriétés esthétique ou encore pour leur résilience en milieu urbain.
L’allégorie de la caverne est un outil pédagogique qu’emploie Platon, en mettant des mots dans la bouche de Socrate, pour nous faire comprendre le problème de la vérité et de l’objectivité pour la condition humaine. Il s’agit d’un constat : l’humanité est plongée dans l’ignorance, nous ne sommes pas en contact avec les vraies choses, mais avec leurs ombres.