![Fruits de la pruche du Canada - petits cônes brun](https://www.arboplus.ca/blog/wp-content/uploads/2024/05/aiguilles-et-fruits-de-la-pruche-du-canada-380x302.jpg)
Dans des conditions forestières idéales, des spécimens peuvent vivre plus de 600 ans, et certains témoignages affirment l’existence d’individus de plus de 50 mètres.
Dans des conditions forestières idéales, des spécimens peuvent vivre plus de 600 ans, et certains témoignages affirment l’existence d’individus de plus de 50 mètres.
Si vous jugez qu’il est sécuritaire de circuler autour de l’arbre, la première étape est de prendre des photos avec votre téléphone. Si vous faites cette étape dès que vous le pouvez, cela va vous sauver du temps et des mots pour la suite.
Mais bon, les études sont là, et elles démontrent que la présence d'arbres en ville est essentielle pour la santé publique.
L’arboriste apprend à utiliser, inspecter et entretenir un harnais spécialement conçu pour la grimpe d’arbre. Notez que vous ne verrez jamais un arboriste diplômé couper des branches à partir d’une échelle.
L’érable de l’amur n’est pas un arbre difficile. Il peut être planté au soleil ou en mi-ombre. Pour son sol, il peut être d’humide à sec et de n’importe quelle texture.
Le cerisier tardif a un bois très solide, ce qui peut vous rassurer quant à la sécurité de vos structures. L’idéal est de planter l’arbre à une distance d’environ quatre à cinq mètres des structures [...]
Il existe des études sur les bienfaits des arbres qu'on n'oserait même pas imaginer ! Les effets des bains de forêt sur la santé, le potentiel des arbres à réduire la mortalité en temps de canicule, la motivation à faire de l’activité physique, la capacité des parcs à rassembler les gens et à aider la sociabilisation, et j'en passe.
Le travail de l'arboriculteur est le maintien et la sécurisation des arbres urbains, mais aussi leur harmonisation avec les structures.
Une recherche dirigée à Montréal, et publiée en 2001, évalue les relations entre l’aménagement végétal et près de 2950 condominiums. Les experts ont découvert que, pour chaque point de pourcentage de canopée, une propriété gonfle sa valeur de 0,29 %.
Quand j'ai vu le métier [d'arboriste grimpeur], je me suis dit que je serais à ma place : j'allais pouvoir grimper, mais grimper sécuritairement et en tant que professionnel.